Profil

 

Le ni oui ni non est le prestataire qui se situe entre le peu impliqué et le moteur, c'est-à-dire l’intermédiaire qui est à booster sous peine de le voir

basculer dans le coté obscur de la force.


Les différents exemples du « ni oui ni non »

Le « pas encore convaincu » : il travaille avec l’OT mais n’en fait pas non

plus plus que de raison. Après tout, l’OT n’a qu’à plus donner !

 

Le « manque de temps » : il s’agit du prestataire qui voudrait s’impliquer mais qui ne peut pas par manque de temps et de bras. Il est en surchauffe et ne peut faire plus.

 

Le sélectif : travaille avec l’OT mais trop à la carte. 

 

Le « vieux nouveau prestataire » : c’est le prestataire qui est implanté depuis un certain nombre d’années mais qui se lance dans de nouveaux projets.

 

Le nouveau : est un porteur de projet ou vient d’installer une nouvelle activité sur le territoire. Il est motivé et demandeur : données chiffrées, quelle concurrence, conseil en matière de labels apport de l’OT, intégration dans le réseau des prestataires du territoire.

 

L’investisseur: il vient de reprendre une affaire (restaurant, hébergement). Il est très pris par son activité, et a donc encore peu de temps à consacrer à son environnement. Il est malgré tout intéressé par les actions

pouvant accompagner son démarrage.


Impact de cette cible sur la vie de l’office de tourisme

 

Ils peuvent avoir un impact positif sur l’office de tourisme et devenir de véritable partenaire. Ils connaissent l’office de près ou de loin mais doivent

en apprendre plus pour devenir un véritable vivier pour l’office de tourisme.


Quelle stratégie adopter avec les « ni oui ni non »

 

Ces prestataires la sont à choyer et à ne pas laisser à l’abandon sous peine de les perdre et d’en faire des peu impliqué voir carrément des poids morts !

Il faut donc les accompagner, les intégrer, les informer et communiquer un

maximum.